► Sébastien*, professeur d’histoire dans un établissement en éducation prioritaire du Val-de-Marne :« J’ai pas mal d’amis qui m’ont envoyé des messages de soutien dès hier soir. Professeur décapité : ce que l’on sait de l’attaqueMoi aussi, je suis professeur d’histoire géo et je donne ce cours sur la liberté d’expression à mes élèves de 4e. Moi aussi, j’ai déjà ressenti des réactions négatives de la part de mes élèves sur les caricatures. Après les attentats de 2015, nous avions discuté entre collègues du sujet, mais cela n’avait pas été plus loin. Nous en sommes abreuvés en permanence par le ministère expliquant que l’on adore les enseignants, qu’ils sont indispensables, qu’ils sont au cœur de la République et qu’il faut les revaloriser.
Source: La Croix October 17, 2020 09:04 UTC