Ils protestent contre les nouvelles règles liées à la fiscalisation de leurs primes de déplacement. La levée de boucliers des CRS s'amplifie à un très mauvais moment pour le gouvernement. Des effectifs de commissariats et des escadrons de gendarmes vont être appelés en remplacement pour, dit-on à la DGPN, ajusté le dispositif. Face à la nouvelle colère des CRS, l'État a multiplié les gestes d'apaisement. Ils en appellent à l'arbitrage de Gérard Collomb et prophétisent, en cas d'échec des négociations, une généralisation de la grogne à toute la police.
Source: Le Figaro September 21, 2017 11:45 UTC