Le candidat malheureux au Conseil fédéral ne se lance pas dans la course à la présidence du parti écologiste. Longtemps mis en avant, le concept de coprésidence semble perdre en soutien. Cela pourrait faire le jeu de Lisa Mazzone, à condition qu’elle veuille relever le défiBeaucoup d’appelés et peu d’élus: toute élection obéit à cette règle, et la campagne pour la présidence des Vert·e·s n’y fait pas exception. A la suite de leur défaite aux élections fédérales, et à la démission de leur patron Balthasar Glättli (ZH), les écologistes recherchent la perle rare, capable de les relancer.
Source: Le Temps January 19, 2024 08:00 UTC