Une fois en France, je veux d’abord apprendre la langue, puis j’espère trouver un travail dans la cuisine », dit-il. Le père Jacques Mourad, lui-même otage de Daech, les a aidés à fuir vers le Liban et à faire partie du couloir humanitaire. »« Nos enfants Sleiman et Nabiq sont à Pau pour les études et ils nous manquent », explique sa femme Rabiaa. Pour conjurer, en France, la perte de son frère, tué en Syrie, alors qu’il se rendait à l’université. À lire : En France, les ONG chrétiennes organisent l’accueil des réfugiés
Source: La Croix July 05, 2017 04:30 UTC