On n’en a rien à faire », lâche Jeffrey, un client, en appréciant son poulet « jerk ». Et Presque aucun des habitants rencontrés ce 20 janvier n’a regardé l’investiture qui se déroulait à deux petits kilomètres de là. Mais la construction d’une voie rapide coupant le quartier en deux, ainsi que l’afflux de Noirs pauvres ne pouvant plus faire face à l’envolée des prix de l’immobilier dans le cœur de Washington, ont eu raison de sa vitalité. Dans les années 1950, Barry Farm a commencé à sombrer dans le chômage et l’insécurité. Nous nous adapterons à Donald Trump comme nous l’avons fait dans le passé, observe Schyla, une habitante de longue date.
Source: La Croix January 21, 2017 08:39 UTC