Réunis à Busan, en Corée du Sud, les négociateurs de 175 pays se sont donné jusqu’au dimanche 1er décembre pour finaliser un traité mondial, premier du genre, susceptible de mettre fin à la pollution plastique. D’un côté, les partisans d’une ligne ambitieuse et contraignante, dont la France fait partie et qui tendrait notamment à diminuer la production. Entre les deux, le cœur des États-Unis balance… Difficile de se mettre d’accord, tant les intérêts économiques sont écrasants. À lire aussi Traité international sur le plastique : réduire la production ou recycler ? La plus petite parcelle de nos corps, y compris nos cerveaux, le moindre recoin de nos océans contiennent aujourd’hui de la matière plastique.
Source: La Croix November 26, 2024 18:36 UTC