Pour ne pas inverser la tendance et inciter encore plus les entreprises à recruter des apprentis, le gouvernement a présenté début juin un plan de relance. Initialement limitée aux bac+3 et aux contrats d’apprentissage, la prime est désormais éligible aux contrats de professionnalisation et niveau master 2. Problématiques culturellesEst-ce suffisant pour rattraper le niveau de l’Allemagne, qui compte plus de 773 000 apprentis, selon les chiffres publiés en 2019 par la fédération allemande DIHK des chambres de commerce et d’industrie ? La logique est la même en Suisse où les universités bonifient à l’entrée les notes des jeunes sortis de l’alternance ». Il faut changer et moderniser encore plus l’image de l’apprentissage, poursuit Pierre Goguet.
Source: Les Echos October 16, 2020 09:57 UTC