C’est en tout cas l’idée de la Confédération et de La Poste Suisse pour tester la fiabilité de son programme de vote électronique. En le soumettant à ce test public, La Poste tient ainsi à prouver sa volonté d’offrir un système sans faille. «Farce à 250'000 francs»Mais pour les opposants au vote électronique, la démarche ne suffit pas, bien au contraire. Un comité interpartis a lancé l’initiative «pour une démocratie sûre et digne de confiance», demandant de suspendre les essais du vote électronique, le jugeant faillible et dangereux. «Outre le vote électronique, La Poste exploite différents systèmes critiques, tels que le système d’e-banking de PostFinance, défend Nathalie Dérobert Fellay.
Source: Tribune de Genève February 24, 2019 16:30 UTC