Même contesté, il a été adopté par le parlement grec. Mais son succès d'aujourd'hui est dû avant tout à un rejet de Tsipras et moins à un vote d'adhésion. La Grèce d'aujourd'hui lui donne une leçon politique. Ainsi le populisme incarné par Syriza a pu accéder au pouvoir en dénonçant pêle-mêle le FMI, l'Union européenne ou les élites. Mais la dure réalité, celle du pouvoir, s'est imposée rapidement, prenant le pas sur les incantations.
Source: Les Echos July 04, 2019 17:25 UTC