Mardi dernier, les patrons respectifs de PSA et de Fiat Chrysler se sont tous deux avoués très ouverts aux partenariats - et bien plus si affinités. Chez les Peugeot, les dossiers de banquiers étalant les avantages d'une telle union garnissent plusieurs étages de bibliothèque. Des fiancés presque parfaitsAlors forcément, chez PSA, on veut faire partie des heureux élus. À lire aussi Fiat Chrysler : les douze travaux de Mike ManleyTout cela dit, chacune des parties a ses clauses suspensives. Mais avec un groupe plus américain qu'italien, c'est une autre romance.
Source: Les Echos March 18, 2019 02:15 UTC