Attention cependant aux chiffres: l’enregistrement des données a souvent du retard et certaines admissions à l’hôpital n’ont pas encore été comptabilisées. Concernant les soins intensifs, leur occupation s’est stabilisée depuis le début de l’année, mais «à un niveau très élevé». «On ne peut pas parler d’un découplage, car plus il y a de personnes infectées, plus il y a d’hospitalisations. Optimisme... et prudenceCette situation inquiète Isabella Eckerle, professeure au Centre des maladies virales émergentes des HUG à Genève. https://t.co/SEhOjuEhhi — Isabella Eckerle (@EckerleIsabella) February 1, 2022Pour Didier Trono, il faut conjuguer optimisme et prudence.
Source: La Liberte February 01, 2022 18:38 UTC