Ces textes, sans la validation desquels le moindre coup de pioche ne peut être donné, pourraient tomber sur le coup d'une annulation pure et simple. C'est en tout cas le jugement que le rapporteur public entend recommander pour quatre de ces arrêtés. Ils permettent, notamment, de déroger aux réglementations sur la protection des espèces et la loi sur l'eau. Après l'étape de lundi et la décision des juges qui va s'ensuivre, opposants et partisans pourront encore saisir le Conseil d'Etat. Pour mémoire, l'entrée en service de cette plate-forme aéroportuaire était initialement prévue en 2017.
Source: Les Echos November 07, 2016 04:14 UTC