Avant l’abandon du projet, le groupe de BTP avait été choisi pour la construction et l’exploitation de l’aéroport. L’abandon du projet de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes (44), en janvier 2018, n’a pas clos le dossier NDDL. Une âpre négociation va s’engager entre l’État et le groupe de BTP Vinci. Mais on prendra nos responsabilités sur ce dossier.» À la fin de l’année dernière, le chiffre de 425 millions d’euros avait circulé. Pour Élisabeth Borne, Vinci est un bon candidat, mais ce n’est pas le seul.
Source: Le Figaro April 14, 2019 18:34 UTC