Bowie, beau livreL’an dernier, Jérôme Soligny faisait sensation en publiant David Bowie: Rainbowman (1967-1980), premier volume d’une étude poussée de l’œuvre de l’Anglais caméléon. Encouragé par le bon accueil réservé à ce récit fleuve consacré aux plus hauts sommets artistiques de Bowie, l’auteur nous livre la suite de l’histoire. Le présent Rainbowman (1983-2016) évoque une seconde partie de carrière plus inégale. Avec l’appui de près de 300 témoins (artistes et proches collaborateurs comme le producteur Tony Visconti), Soligny parvient pourtant à rendre captivants les passages à vide du maître durant les années 80, période à peine sauvée par l’effarant succès de Let’s Dance. L’érudition de l’auteur et la ju
Source: La Liberte December 11, 2020 17:37 UTC