Fondation de l’Hermitage – Nicolas de Staël, peintre, passe avant l’homme Après avoir établi un record de fréquentation au Musée d’art moderne à Paris, la rétrospective de l’artiste français (1913-1955) est à Lausanne dans une version plus modeste. Florence Millioud«Agrigente», 1954, l’une des toiles inspirées par la Sicile de Nicolas de Staël. Jean-Louis LosiLe vrai mythe de Nicolas de Staël se niche, peut-être, là où on ne va pas la chercher! À l’ombre de cette existence que l’artiste a interrompue en s’élançant dans le vide depuis le toit-terrasse de son atelier d’Antibes. Et avant ce choix létal, durant toute sa carrière de peintre, ce sont ses œuvres qu’il a détruites.
Source: Tribune de Genève February 10, 2024 14:26 UTC