A fortiori lorsque le retour en classe coïncide avec la mise en application de plusieurs réformes. Que l’action de la nouvelle venue se bornerait à déminer les dossiers sensibles, à commencer par les rythmes scolaires. Une ministre très critiquée, notamment à droiteNon, la première femme nommée à la tête de l’Éducation nationale a rajouté au moins un étage à la « refondation » engagée par la gauche dès 2012. Signe que la bataille pour 2017 est bel et bien lancée. « Je me verrais bien retrouver mon fauteuil actuel dans l’hypothèse d’un deuxième quinquennat à gauche, confie-t-elle en revanche à La Croix.
Source: La Croix August 29, 2016 15:00 UTC