« L’assassinat de Shinzo Abe est dans tous les esprits, assure Kaori, employée de bureau. » La veille déjà, certains journaux japonais et anglophones avaient utilisé le terme « terrorisme » pour qualifier l’assassinat de Shinzo Abe, 67 ans. »À lire aussi Mort de Shinzo Abe : l’ancien premier ministre a marqué de son empreinte la vie politique japonaiseL’auteur désigné a avoué avoir tué Shinzo Abe car il lui en voulait d’appartenir à un groupe religieux. Aux yeux d’une opinion publique sensible au soutien à l’Ukraine, qualifier « d’acte terroriste » l’assassinat de l’ex-premier ministre faciliterait un amendement de la Constitution. C’était le rêve de Shinzo Abe.
Source: La Croix July 10, 2022 18:18 UTC