La Croix : Après un cycle électoral marqué par une poussée des radicalités, que dit ce sondage de l’état de l’opinion ? Arnaud Zegierman : Les études qualitatives que l’on réalise depuis des années montrent un décalage entre les préoccupations des Français et le débat public. Des Français conscients de la chance qu’ils ont de vivre dans leur pays et de ce qui fait notre unité. Par exemple, on peut être surpris d’une certaine confiance des Français dans le modèle de société multiculturelle. À force de parler de ce qui va mal, on ne fait qu’exacerber ce pessimisme.
Source: La Croix July 11, 2022 18:42 UTC