Selon les premiers éléments de l’enquête, ce médecin de campagne suivait des patients en fin de vie à domicile. Toujours dans Paris Normandie, l’avocat du médecin a reconnu que celui-ci avait délivré ce produit à certains patients. « Il a tout simplement soulagé des patients dans le cas de soins de fin de vie. Cette instance soulève le cas de patients en fin de vie pour lesquels le recours à l’HAD n’est pas pertinent. Selon elle, il n’est toutefois pas souhaitable qu’un médecin gère seul une situation de fin de vie à domicile avec ce médicament.
Source: La Croix December 28, 2019 16:18 UTC