C’est dans cette ville chinoise en plein boum qu’il a élaboré le concept de ce qui, en 2014, allait devenir Marco Vasco. « La start up fondée initialement s’appelait Planet Veo », rappelle toutefois Remi Campet, secrétaire général de Marco Vasco. Aujourd’hui, les succès de Marco Vasco en inquiètent quelques uns…Mettant en avant la devise : « explorer le monde en toute sérénité », Planet Veo/Marco Vasco ont en effet bien relevé le défi qu’ils s’étaient lancés. A côté du menu déroulant, il trouvera le mail et le téléphone d’un conseiller Marco Vasco, à joindre pour en savoir plus si nécessaire. Le troisième secret de la réussite de Marco Vasco, c’est d’ailleurs le travail très soigneux de référencement sur Google.

Source: La Croix September 21, 2017 13:52 UTC