Perçu souvent comme un héritier possible, Keller esquive : « Sur l'histoire de la succession, c'est vrai que mon nom est apparu ici ou là. La campagne va commencer, on va débuter la tournée des ligues, il y a une élection à gagner. Je reconnais que Noël Le Graët a dit que j'étais un successeur possible, qu'il m'aimait bien, c'est très flatteur. Mais il a rappelé aussi que j'étais président du Racing (une fonction incompatible avec un mandat exécutif). S'il est élu, il s'engage pour un mandat de quatre ans et moi je serai à ses côtés pour continuer le travail entamé sous sa direction.
Source: L'Equipe February 12, 2021 10:24 UTC