Le nombre de maladies sexuellement transmissibles est resté stable ou a continué de baisser en 2020. Mais la pandémie a limité dans une certaine mesure les possibilités de dépistage, nuance l’Office fédéral de la statistique (OFSP) dans son Bulletin hebdomadaire. Les possibilités de dépistage des infections sexuellement transmissibles ont été temporairement limitées par la pandémie. Elles ont entraîné une diminution du nombre de cas (chlamydioses et gonorrhée) ou un retard dans leur déclaration (VIH, syphilis, hépatites B et C). Voici les principales informations sous forme d’infographie.
Source: Le Nouvelliste November 30, 2021 20:18 UTC