Louise Vignaud : C’est un texte que j’ai découvert il y a cinq ans, lorsque j’étais à l’Ensatt (École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre, NDLR) de Lyon. C’est un texte très intellectuel, très réfléchi. L. V. : L’inceste, chez Duras, c’est le syndrome de la passion interdite. L. V. : C’est ce que je veux faire depuis toujours ! L’année dernière, j’ai tout de même éprouvé le besoin de retrouver le plateau.
Source: La Croix February 17, 2020 18:44 UTC