Si le président américain n’a toujours pas de stratégie claire sur le Proche-Orient, il montre une volonté affirmée de s’y investir. » Le président Trump, qui est tout sauf un conformiste, avait annoncé son voyage en Israël, prévu fin mai, mais pas à Ramallah, en Cisjordanie. Il rompt ainsi avec la norme diplomatique qui veut que toute visite diplomatique en Israël s’accompagne d’une rencontre avec les dirigeants palestiniens. Peut-être veut-il aussi démontrer que le pragmatisme peut payer. A lire : En Israël, plus de 1 000 prisonniers palestiniens en grève de la faim
Source: La Croix May 09, 2017 16:18 UTC