Arrêté en mai 2011, il avouera rapidement le vol du musée, sans jamais donner le nom de commanditaires. Au côté du gentleman cambrioleur autoproclamé, qui "rendrait bien les toiles à la police" s'il les avait encore, deux hommes, dont un de ses contacts réguliers, sont poursuivis pour recel. Sa silhouette athlétique a été repérée autour de l'esplanade du Trocadéro, voisine du musée, les jours qui précédent le vol. Son téléphone ou celui de ses proches ont borné dans cette zone à la période du vol. Un second avouera avoir gardé les toiles un moment puis s'en être débarrassé, dans des poubelles.
Source: La Croix January 30, 2017 14:09 UTC