En août, au Mondial, il a sorti le Malaisien Lee Chong Wei, alors n° 2 mondial mais surtout resté huit ans au sommet de la hiérarchie pratiquement sans discontinuer. «Il va falloir que je surjoue quelque chose»Le problème avec Leverdez, c'est qu'il faut avoir la chance de tomber dans ce fameux jour de grâce. L'intéressé sait très bien où ça pèche : «La constance dans la concentration, c'est mon point faible. Mais il va falloir que je “surjoue” quelque chose (sic) pour que moi, derrière, ça me fasse rire intérieurement. Finalement, ce que veut le public, c'est que je gagne.» Leverdez n'a jamais dépassé le deuxième tour à Coubertin.
Source: L'Equipe October 25, 2017 07:18 UTC