Même topo chez Maria, fonctionnaire et mère d’un garçon de 13 ans : « Angelo rentre à la maison vers 14 heures, sur les nerfs. L’école italienne y fait figure de mauvaise élève pour son « incapacité à compenser les inégalités sociales, l’abandon scolaire (14 %) et la charge exorbitante de devoirs à la maison. Elle dénonce « les devoirs discriminants, socialement et culturellement, qui avantagent les élèves dont les parents sont présents et instruits mais pénalisent ceux qui vivent dans des conditions défavorisées ». » met aussi l’accent sur certaines activités, « le sport, la musique, la lecture », limitées en raison de la masse de devoirs. Et relève les conséquences au sein du foyer : « Les devoirs provoquent des conflits entre parents et enfants, alors qu’il est essentiel pour la famille de disposer de temps libre partagé.
Source: La Croix November 06, 2016 17:35 UTC