Chaque année, la veille et le soir de Kippour, elle se rend aussi à la synagogue, immanquablement bondée. À la gravité de cette fête succède l’insouciance de la suivante, Soukkot, quatre jours plus tard. C’est pour cela qu’en Israël les balcons des immeubles ne sont pas tout à fait alignés les uns sous les autres ! » Il ajoute que par rapport à la diaspora, « on se sent plus à l’aise » en Israël pour célébrer ces fêtes dont l’atmosphère envahit les rues. Elle vient de terminer sa dernière œuvre : une scène d’allégresse pendant Sim’hat Torah (« la Joie de la Torah »), qui marque la fin des fêtes de Tichri.
Source: La Croix October 14, 2016 06:56 UTC