» C’est ainsi que le chef de l’État a justifié, mardi 18 février, la « suppression » à la rentrée 2020 des enseignements de langue et culture d’origine (Elco). Une transformation du dispositifAprès les attentats de 2015, certains ont suspecté ce dispositif de concourir au communautarisme, voire à la radicalisation. Ce qui a conduit la ministre de l’éducation de l’époque, Najat Vallaud-Belkacem, à remplacer les Elco par des enseignements internationaux en langue étrangère (EILE). « Nous avons commencé, dès 2016, à signer de nouvelles conventions avec le Maroc et le Portugal, rappelle l’ancienne ministre. La « disparition » des Elco, qui concerne plus de 80 000 élèves, est vue d’un bon œil par la députée (LR) Annie Genevard.
Source: La Croix February 20, 2020 05:37 UTC