«Nous avons créé une salle d’urgence pour aider à soigner les riverains. Nous sommes en lien avec les pharmacies et nous essayons de trouver des médecins en cas d’urgence car la majorité des hôpitaux ont fermé leurs portes. Dans tous les cas, les routes sont trop dangereuses pour acheminer les blessés et les malades», décrit Lubna Ahmed. Cette activiste explique encore comment son comité de résistance vient en aide aux habitants de son quartier d’Omdurman, ville jumelle de la capitale Khartoum, en distribuant par exemple des vivres aux plus fragiles.
Source: Le Temps May 02, 2023 06:42 UTC