Un réseau franco-belge a été démantelé cette semaine et des dizaines d’armes imprimées en 3D ont été saisies. Pour Matt Schroeder, chercheur principal au Small Arms Survey, ce trafic illégal prend de l’ampleur et les autorités peinent à le contrôlerIntraçables, parfois même indétectables, les armes conçues à l’aide d’une imprimante 3D occupent une part de plus en plus importante du marché des armes illégales. Des dizaines de pièces et des armes à feu prêtes à l’emploi, automatiques et semi-automatiques, ont été saisies par les autorités. Les acheteurs de ces armes imprimées en 3D étaient des personnes impliquées dans le trafic de stupéfiants, mais aussi des collectionneurs. Une idéologie, notamment en vogue aux Etats-Unis, qui prône la liberté de chaque citoyen et citoyenne à détenir une arme.
Source: Le Temps February 11, 2024 07:04 UTC