Une partie de l'establishment républicain l'a répudié, d'autres caciques du parti ont voté pour lui en se pinçant le nez. Et "ses partisans seront toujours là" le 9 novembre, "avec leurs mêmes idées sur le libre-échange ou l'immigration. - poussée populiste -"Il y a une poussée d'énorme populisme à la fois au sein du parti républicain et du parti démocrate, et cela va durer", ajoute-t-elle. Il a insulté les femmes, les hispaniques, les musulmans, les handicapés et son adversaire démocrate Hillary Clinton. "Le parti ne redeviendra pas le parti country club de Jeb Bush", a affirmé récemment Roger Stone, un consultant politique controversé, très proche de Donald Trump.
Source: La Croix November 06, 2016 10:10 UTC