L'arrivée des beaux jours de plus en plus avant l'heure fait craindre le développement de gênes ou d'allergies respiratoires. A Paris, le taux de pollen par bouleau sur une saison a ainsi dépassé celui de 1993, dernière année de record. « D'après les simulations faites par le RNSA, les effets du changement climatique sur les pollens risquent de s'amplifier dans le futur », signale ce bilan 2018. Lequel renvoie aux conclusions d'une étude publiée en 2017 par l'Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (ONERC) . Cet organisme dépendant du ministère de l'Environnement estime que « le changement climatique a aussi une influence sur la durée de la saison pollinique en l'augmentant ».
Source: Les Echos March 19, 2019 11:48 UTC