«C'est pour cela que l'on s'inquiète», dit à l'AFP Benoit Pujol, chercheur CNRS, coauteur d'une étude publiée mardi dans Ecology Letters. «Le succès reproducteur dans une population, c'est le garant de son adaptation», souligne Benoit Pujol. Par contre son habitat influence très fortement ce succès reproducteur, ajoutent les chercheurs. «Quand la femelle meurt, le mâle devient femelle et le plus grand des individus non actifs sexuellement devient reproducteur», ajoute-t-il. Les chercheurs veulent maintenant essayer de déterminer dans quelles conditions et où les poissons clowns se reproduisent le mieux.
Source: Tribune de Genève November 26, 2019 16:05 UTC