À trois mois de la primaire à droite, le favori et son challenger sont prêts à en découdre et se livrent à de premiers échanges musclés, au grand dam des autres candidats. «Nicolas Sarkozy n'est pas mon problème!», a lancé le favori des sondages avant de monter à la tribune pour y prononcer son discours de rentrée, samedi, à Chatou. «Je n'aurai pas un mot contre un membre de ma famille», a promis en écho son rival quelques heures plus tard, au Touquet. La guerre des chefs, les électeurs de droite en général et les adhérents des Républicains en particulier n'en veulent plus. Les intéressés le savent: «Ceux qui diviseront seront balayés», a prédit l'ancien président dans le Pas-de-Calais, tandis que dans les Yvelines Gilles Boyer, le directeur ...
Source: Le Figaro August 28, 2016 17:15 UTC