En l’occurrence : la brave poule Georgette. Ça porte un nom : ça s’appelle le gynandromorphisme. Et c’est tombé sur Georgette. Mais elle s’est aussi métamorphosée : elle a changé de plumage, sa crête s’est épanouie, elle a grandi et forci. » Eh, oh, Georgette, c’est pas parce que tu es devenue un coq que tu dois commander à tout le monde !
Source: La Croix September 03, 2020 06:33 UTC