En réponse, la propriétaire du gallinacé, Corinne Fesseau, lance une pétition intitulée «Il faut sauver Maurice le coq de l’île d’Oléron», qui rassemble aujourd’hui près de 120.000 signatures. En juillet 2018, ce dernier a même pris un arrêté dans lequel il rappelle «le caractère rural» de Saint-Pierre d’Oléron. L’avocat de ses voisins, Me Vincent Huberdeau, ne s’attendait d’ailleurs pas forcément à ce que cette affaire aille jusqu’au tribunal. «Ce ne sont pas des citadins déterminés à lutter contre la ruralité, juste des retraités qui veulent dormir le matin», insiste Me Huberdeau. De son côté, Me Julien Papineau, avocat de la propriétaire de Maurice, n’a pas répondu aux sollicitations du Figaro.

Source: Le Figaro July 04, 2019 04:02 UTC