Pendant l’esclavage, le Gwo ka était interdit, jusque dans les années 60, il était méprisé. Le Gwo Ka est enseigné dans plusieurs pays, qu’il s’agisse de la danse, ou encore du tambour (appelé Ka). Rien d’étonnant quand on sait que Jazz et Gwo Ka ont en commun l’improvisation et leurs origines africaines. Ensemble, ils ont présenté leur "Gwo Ka Pwojè", où les percussions traditionnelles guadeloupéennes sont aux avant-postes du Jazz. Cela, avec la complicité de Valérie Chane Tef (piano, chœurs), Franck Leymerégie (percussions, chœurs) et Jeremy Pagis (Contrebasse, chœurs) :Gwo Ka et militantismeLe Gwo Ka est hérité des Africains déportés aux Antilles, pour y être réduits en esclavage.
Source: L'Humanite November 26, 2024 07:19 UTC