Près de dix ans après la crise, le « shadow banking », c'est-à-dire le financement non bancaire, continue d'étendre son emprise . Le rapport souligne que la croissance de 4,3 % entre 2014 et 2015 est moins soutenue que les 10 % annuels observés par le passé. Il n'en reste pas moins que le « shadow banking » représente 150 % du PIB mondial, se maintenant ainsi au-dessus du pic atteint en 2007 avant la crise (140 %). Les champions de la finance parallèle sont les Européens, le « shadow banking » étant estimé à 30.000 milliards de dollars sur le continent. Les fonds d'investissement pèsent le plus lourdPar types d'activités, ce sont les fonds d'investissement qui pèsent le plus lourd dans le « shadow banking ».
Source: Les Echos May 11, 2017 02:03 UTC