Le groupe avait investi 680 millions d’euros dans la construction de ce site, achevé en 2010. Il a toujours contesté toute responsabilité dans la destination de ces versements à des organisations terroristes. Le groupe avait obtenu de la cour d'appel de Paris en novembre 2019 l’annulation de sa mise en examen en 2018 pour « complicité de crimes contre l’humanité ». La Cour de cassation avait par ailleurs confirmé la mise en examen du cimentier pour « financement du terrorisme ». Le parquet a également requis l’annulation de la mise en examen de Lafarge pour « mise en danger de la vie d’autrui ».
Source: L'Humanite May 16, 2022 20:50 UTC