» Pour percer, les femmes ont ainsi tendance à jouer les « superwomen » : « On se met souvent plus de pression. Les symboles sont parfois cruels : dans certaines entreprises, il n'y a pas de toilettes pour femmes aux étages de direction. Directrice générale adjointe chez Dassault Systèmes, elle fait partie des deux seules femmes à siéger au comité exécutif. En tant que dirigeante femme, j'ai souvent l'impression de devoir cocher toutes les cases. Mais la transparence progresse : la loi Schiappa-Pénicaud impose aux entreprises de communiquer les écarts de salaires entre les hommes et les femmes.
Source: Les Echos May 02, 2019 10:30 UTC