Par Sophie AmsiliL'eau se fait de plus en plus rare au Maroc. Les épisodes de sécheresse, de plus en plus fréquents, sont, en outre, plus sévères que par le passé. L'agriculture représente aujourd'hui 13 % du PIB marocain et 39 % des emplois, et même probablement bien davantage en tenant compte de l'emploi informel. La faible pluviométrie et les récoltes décevantes des dernières années coûtent donc cher à l'économie du royaume. Le Maroc pourrait donc difficilement faire l'économie d'un retour à des cultures plus adaptées à son climat.
Source: Les Echos February 19, 2024 17:51 UTC