Elle prévoit, entre autres, la privatisation d’Aéroport de Paris (ADP), entreprise qui gère les deux grands aéroports parisiens. L’opération est contestée par une bonne part de l’opposition, aussi bien au sein de la droite républicaine que de la gauche socialiste, si bien que le Sénat a abrogé cette partie du texte. À l’Assemblée nationale, la majorité gouvernementale s’affiche décidée à rétablir le texte et confirme son intention de privatiser ADP. ADP est une entreprise qui va bien, qui est en croissance. L’argent issu de la privatisation va permettre d’assurer le financement du Fonds pour l’innovation et l’industrie que nous avons créé, et dont le montant est de 10 milliards d’euros.
Source: La Croix March 05, 2019 05:37 UTC