Élodie Menant adapte avec talent la nouvelle de Stefan Zweig. La Peur, d’après Stefan Zweig au Théâtre Michel, Paris 8eDes panneaux pivotants occupent une infime partie de l’espace scénique, comme pour symboliser un étau qui se resserre. L’intérieur d’un appartement bourgeois de style années 1950 forme le cocon où évoluent Irène (Élodie Menant) et Fritz (Arnaud Denissel). « Stefan Zweig, adieu l’Europe », la fin d’un grand écrivainUne allégorie de la peur ? Élodie Menant prend des libertés par rapport au texte de Stefan Zweig.
Source: La Croix March 05, 2019 07:41 UTC