Sur les réseaux sociaux, via le hashtag #zoombombed, des utilisateurs ont témoigné avoir tout d'un coup vu des images pornographiques ou racistes envahir leur écran. Le communiqué recommande, afin d'éviter les piratages, d'utiliser les options de réglage de l'application permettant de privatiser les réunions et d'éviter les partages d'écran. Interrogée, la société Zoom, basée dans la Silicon Valley, en Californie, a assuré «prendre la vie privée, la sécurité et la confiance de ses utilisateurs très au sérieux». Nous apprécions l'intérêt de la procureure de New York pour ces questions et sommes heureux de lui fournir les informations demandées», a indiqué un porte-parole. En Europe, l'application a connu une évolution similaire, avec 6,5 millions d'utilisateurs fin mars, selon Sensor Tower.
Source: Le Figaro March 31, 2020 19:53 UTC