« La progression de l'inflation va s'amenuiser, et le ralentissement de l'économie en zone euro est clairement plus fort et plus large qu'attendu. La situation nécessite un ralentissement de la normalisation annoncée de la politique monétaire de la BCE. Au risque, avec un loyer de l'argent déjà au plus bas, de ne plus avoir de marges de manoeuvre lors de la prochaine crise ? Le sujet agite de plus en plus des investisseurs inquiets de la situation des banques italiennes. « Nous voulons nous assurer que cette décision servirait bien des intérêts de politique monétaire », a tempéré Benoît Coeuré.
Source: Les Echos February 17, 2019 15:56 UTC