OpinionBon sang, mais c’est bien sûr! A transformer les victimes en bourreaux et les bourreaux en victimes, on dédouane, pour le plus grand bonheur du terrorisme, les coupables. Alors que nul ne s’oppose à ce que l’on explique l’islam à l’école ou à l’université, le temps n’est-il pas venu pour l’islam de s’expliquer pour ses dérives meurtrières et de condamner les musulmans qui piétinent, au sens propre du terme, les symboles et les effigies de la démocratie? Cette simple question fera bondir plus d’un d’entre nous. N’étant pas dans l’air du temps, elle ne s’inscrit pas dans cette nouvelle forme de bien
Source: La Liberte December 10, 2020 02:15 UTC