La maladie grave et la mort d’un parent proche bouleversent la famille. » Ce couple engagé dans la foi a trouvé en Dieu la force et le courage de traverser l’épreuve de la maladie, en accompagnant les siens. L’enfant n’ose pas poser de questions« Pour de nombreux adultes, néanmoins, il est compliqué de parler de la maladie et de la fin de vie », observe Camille Baussant-Crenn, psychologue clinicienne à la Fondation œuvre de la Croix Saint-Simon. « Plus il est jeune, plus il faut être concret, recommande la psychologue. Les enfants ont une relation simple et spontanéeLorsque la famille est confrontée à la perte d’un proche, les adultes doivent veiller à communiquer, à ne rien interdire, à proposer en expliquant, puis à laisser le choix sans forcer.
Source: La Croix October 24, 2017 13:18 UTC