L’auteur présumé de l’attentat de Strasbourg, tué par la police, portait au front la « tabaâ », une marque que laisse aux fidèles musulmans la pratique assidue de la prière. Mais qui ne saurait être interprétée uniquement comme le signe d’une radicalisation. La « tabaâ », une marque que laisse aux fidèles musulmans la pratique assidue de la prière, ne saurait être interprétée comme le signe d’une radicalisation. Est-elle pour autant un signe de radicalisation, comme l’ont affirmé de nombreux internautes sur les réseaux sociaux, e manière hâtive ? Signe de piétéSigne de religiosité et de piété, la tabaâ ne saurait être considérée à elle seule comme une marque de radicalisation, comme l’a souligné Jean-Marc Lafon, cofondateur du think tank Action Résilience et spécialiste des mouvements djihadistes.
Source: La Croix December 16, 2018 12:22 UTC