Ou encore à propos de certains choix mythiques comme le nom de Zelda qui ne tient finalement pas à grand chose. Le livre s'intéresse énormément à la figure de Shigeru Miyamoto, créateur de Zelda. Mais le journaliste considère tout de même le rôle de Shigeru Miyamoto comme central, comme il l'explique au Figaro. L'auteur explique ce choix: «La façon dont les critiques ont reçu le jeu, c'est un passage très important à détailler pour le comprendre». Il prend alors l'exemple d‘Ocarina of Time, le jeu le mieux noté du monde pendant une décennie, de 1997 à 2007.
Source: Le Figaro July 22, 2017 06:00 UTC